Suite à la demande de Bart Somers, Vlaams Minister van Binnenlands Bestuur, le Comité consultatif de Bioéthique de Belgique a publié un communiqué de Presse daté du 30 novembre 2021 sur base de son Avis n°79 du 8 novembre 2021 concernant « les nouvelles formes de sépultures ».

voir ce Communiqué de Presse du 30/11/21

La première question à se poser est pourquoi, dans une discussion sur des « nouvelles formes de sépulture », la Fondation Métamorphose, qui a derrière elle officiellement plus de 50.000 personnes qui la soutiennent, n’a pas été invitée ? Pire encore, ce Comité n’a même pas tenu compte de nos publications factuelles concernant les expérimentations ratées de l’UCLouvain !

Comme vous allez le constater, même pour traiter notre corps après la mort, cet avis ne contient aucune raison valable de douter de l’efficacité et de la supériorité des forces vives que la Nature met en œuvre depuis des centaines de millions d’années pour entretenir la Vie sur notre planète.
Nous avons lancé une nouvelle campagne de mobilisation financière pour mener à bien nos discussions pour des expérimentations sur des dépouilles humaines en Région Bruxelles-Capitale
Nous vous suggérons de prendre au moins une part de notre Coopérative Humusation, avant la fin de l’année, pour profiter du Tax Schelter ici https://www.humusation.org/cooperative/

Selon ce communiqué laconique :

– « l’humusation en conditions naturelles n’est pas techniquement praticable et son exécution (pas les intentions de « retour à la nature » qui la sous-tendent) entre en conflit avec divers aspects du cadre éthique ».

– « L’humusation en conditions contrôlées ne rencontre, quant à elle, pas d’objection à son autorisation. Elle est techniquement faisable et réussit à un degré important le test du cadre éthique. Le Comité constate cependant que la demande d’humusation concerne surtout sa variante naturelle et que l’humusation en conditions contrôlées ne répond donc pas à cette demande ».

– « Il n’y a pas d’inconvénient à ce que l’aquamation soit autorisée à l’avenir dans la mesure où elle est techniquement au point et réussit le test du cadre éthique. Elle se démarque même favorablement de la crémation et de l’inhumation sur divers points, notamment l’impact environnemental ».

– « Il est recommandé aux autorités de chercher à savoir de quelle façon l’inhumation naturelle peut devenir une véritable option pour davantage de gens. C’est faisable en lui réservant plus d’espace dans les cimetières existants, dans des espaces attenants aux cimetières existants ou en pleine nature dans des cimetières dits naturels. Il ne voit pas d’inconvénient à ce qu’elle soit autorisée à l’avenir dans la mesure où elle est techniquement au point et réussit le test du cadre éthique. Elle se démarque même favorablement de la crémation et de l’inhumation sur divers points, notamment l’impact environnemental».

Voici le lien pour l’avis détaillé : https://www.health.belgium.be/sites/default/files/uploads/fields/fpshealth_theme_file/avis_79_nouvelles_formes_de_sepultures.pdf

Concernant l’Humusation :

Ce qui ressort de nos publications depuis 7 ans, c’est que pour mériter le label « Humusation », le compostage « haut de gamme » des dépouilles mortelles devra impérativement être mis en œuvre par du personnel dûment certifié, qui utilisera à bon escient nos 2 activateurs naturels, quelques pelletées d’argile et de la lignite suivant notre protocole. Afin que toute la microfaune vivant en aérobie dans les tout premiers cm du sol puisse venir transformer dans une butte de 3 m³ de broyas de bois d’élagage gorgé d’eau , en 12 mois, toutes les cellules de la dépouille mortelle en humus sain et fertile, tout en neutralisant les molécules chimiques qui les ont empoisonnées, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité.

Rappelons que l’humusation est  un néologisme créé et adopté par MÉTAMORPHOSE, notre Fondation d’Utilité Publique, depuis fin 2014.

Comme l’équipe de l’UCLouvain, n’a pas mené le processus de décomposition suivant notre protocole, elle n’a pas le droit d’utiliser notre label pour qualifier les tests réalisés ni de tirer la moindre conclusion quant à notre concept.

C’est la raison pour laquelle, nous avons demandé, dès la mi-2019, qu’elle rembourse l’argent public indûment perçu. Rappelons que nous n’avons jamais pu intégrer le Comité de Pilotage de ces expérimentations… alors que le principal représentant du puissant lobby des Crématoriums en faisait partie.

Le Cabinet du ministre Collignon avait accusé réception, le 9/10/21, de nos protocoles très précis ainsi que de notre demande expresse d’être invités à les comparer avec le modus operandi de l’UCLouvain… Or il n’en a aucunement tenu compte pour rédiger son communiqué de Presse du 26/10/21 en utilisant ces résultats pour justifier l’interdiction des tests d’humusation.

L’étude faite au sein de l’UCLouvain ne démontre qu’une seule chose : ces personnes, travaillant sous la responsabilité du professeur Philippe Baret, n’ont pas réussi à mener un compostage à haute température sur les cadavres de porcs. Aucune expérience qui puisse être comparée à l’humusation n’a été réalisée. De plus, ni le mandat ni le cahier des charges sur lesquels se base l’obtention des subsides n’ont été respectés. Le ministre Collignon dans son communiqué de presse du 26/10/20 fait référence à des expériences qui n’ont pas eu lieu.

Notre argumentaire clair et détaillé est disponible depuis novembre et décembre 2020 sous les liens suivants :

https://www.humusation.org/wallonie-tourne-le-dos-humusation/

https://www.humusation.org/rapport-uclouvain-critique-scientifique/

Depuis octobre 2021, nous avons reçu deux autres avis d’experts scientifiques, connaissant de longue date le compostage à haute température, qui démontent définitivement, arguments à l’appui, cette pseudo-étude qui a tenté de discréditer l’humusation en Wallonie …

https://www.humusation.org/tests-uclouvain-moins-credibles/

Une initiative constructive, éthique et respectueuse de la demande citoyenne aurait été que le Comité de Bioéthique recommande aux autorités :

  • de chercher à savoir de quelle façon l’Humusation pourrait devenir une véritable option écologique, éthique et viable

  • de répondre à la demande de toutes les personnes (plus de 5 000) qui ont choisi l’Humusation comme mode de sépulture et l’ont officiellement fait savoir par l’envoi à tous leurs élus locaux de leur Acte de dernière Volonté en faveur de notre concept

  • de donner le feu vert à la Fondation METAMORPHOSE pour mener des expérimentations objectives et contrôlées par des organismes officiels compétents sur quelques dépouilles mortelles d’humains consentants de leur vivant afin de valider scientifiquement le protocole

POURQUOI ce n’est PAS le cas ?

Par ailleurs, utiliser l’expression « humusation en conditions contrôlées » pour nommer le processus Recompose mis au point à Seattle (USA) est inexact et contraire à toute déontologie. Recompose pratique un compostage industriel réalisé en un peu plus d’un mois, dans un hangar, hors sol dans des cylindres rotatifs munis d’un crochet pétrisseur avec adjonction d’air chaud et d’eau sucrée.

Notre réponse suite à l’amalgame malheureux fait dans le communiqué de presse de l’AFP et répercuté par la plupart des médias français, sans le moindre travail d’investigation, lors de l’annonce de légalisation de Recompose dans l’Etat de Washington (USA) est reprise dans ce lien  : https://www.humusation.org/humusation-recompose-washington/

Concernant l’aquamation :

Depuis que nous communiquons sur le concept de l’humusation, (mis à part le puissant lobby des crématoriums qui a déjà prévu l’espace pour l’intégrer dans leurs infrastructures … puisque cela consommerait moins d’énergie fossile que le four crématoire, çà leur permettra de parachever leur « greenwashing » !) personne n’a jamais manifesté de l’intérêt, ni milité pour la légalisation de l’aquamation…

C’est une technique qui consiste à faire bouillir le corps du défunt dans une grande cuve d’eau, contenant de l’hydroxyde de potassium, sous pression. Afin de pouvoir récupérer après quelques heures les os « nettoyés », pour les broyer en fine poudre, et déverser les quelques 1 500 litres de « soupe » brunâtre nauséabonde résiduelles… dans les égouts, quelques jours après le décès de l’être cher !
Puisqu’on a pris naissance dans le liquide amniotique, on devrait souiller de l’eau potable, encore une fois, lors de cette ultime « chasse » ??? Histoire peut-être de pouvoir entériner une bonne fois pour toutes, après s’être soulagé dans des WC pendant toute leur vie, de n’avoir vraiment rien à fiche de souiller l’eau irrémédiablement (aucune station d’épuration, même biologique, n’est capable de remettre les compteurs à zéro concernant tous les polluants chimiques !) avec toutes leurs déjections et, pire encore, de perdre l’opportunité de (re)faire de l’humus, à jamais ! Quel message cynique pour les générations futures…

C’est cette aberration, fort vraisemblablement plus fâcheuse que l’incinération, qui mérite le label d’éco-funéraille pour ce comité de bioéthique ! Proposer au même prix que l’incinération un procédé qui peut récupérer les cercueils, qui consomme 5 (cinq) fois moins d’énergie fossile et qui n’a pas besoin de filtres à nettoyer … c’est pas tout bon pour augmenter les bénéfices ?

Où est l’éthique ? Où est l’écologie ? Où est le respect des défunts ?

En fait, la seule QUESTION à se poser est dès lors : à qui profite le crime ?

 

Concernant l’inhumation « naturelle » dans des cimetières « naturels » :

Tout d’abord il convient de rappeler qu’il n’y a pas le moindre gramme d’humus à 2 m de profondeur … c’est de la malhonnêteté intellectuelle d’avoir baptisé l’enterrement « inhumation »

Par « inhumation naturelle », le Comité de Bioéthique entend apparemment le fait de garnir les cimetières de fleurs vivaces, de permettre à l’herbe de pousser dans les allées et d’interdire le glyphosate …Si, pour rendre les cimetières plus verts, on décide de végétaliser la partie horizontale des tombes, ce n’est pas grâce, mais malgré, la présence des morts que les plantes pousseront !

(voir article Kairos Août 2021 p.18).

Les cimetières dits naturels., c‘est malheureusement tout ce que la législation en vigueur permet de faire … mais ce « greenwashing » de surface ne fait que « rafistoler », en apparence seulement, l’inhumation ce moyen « inhumain » de traiter nos morts (puisqu’il est suicidaire, pour l’avenir des générations actuelles et futures, de continuer à priver la biosphère de toute la biomasse humaine et animale morte !)

Toutes les explications sont disponibles ici :  https://www.humusation.org/pourquoi-eviter-inhumation/

Le Comité de Bioéthique ne propose in fine qu’une chose : casser, à jamais, le cercle vertueux de la Vie sur Terre en empêchant irrémédiablement, de rendre correctement aux couches superficielles de notre planète, les ressources qu’elles leur ont généreusement données et dont elles ont besoin pour continuer à soutenir la Vie sur Terre !.

Ici notre Avis complet

Seul, le processus d’Humusation permet cette décomposition et le retour correct, sous forme d’humus, de toutes les cellules des dépouilles mortelles humaines aux couches superficielles du sol, essentielles à la Vie sur Terre.

Il est vraiment urgent d’arrêter de les traiter comme des « déchets » et de commencer à les considérer comme des  « ressources » en pouvant choisir l’Humusation !

Tergiverser ne sert à rien et cultiver la peur non plus. Seules des expérimentations objectives, dénuées de conflits d’intérêt et validées par des laboratoires agréés pourront fournir des informations fiables.

Il est donc urgent de donner le feu vert aux expérimentations afin de valider scientifiquement l’humusation sur les dépouilles mortelles d’humains consentants…

Pour nous y aider, vous suggérons de prendre au moins une part de notre Coopérative Humusation, avant la fin de l’année, tout en profitant du Tax Schelter de 45 %, en cliquant sur le bouton ci-dessous

Il est temps de légaliser notre alternative éco-logique, pour enchanter la mort et honorer la Terre.

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