• Oublier la thanatopraxie (soins de conservation destinés à redonner aux cadavres l’apparence de la vie et à repousser la putréfaction) qui utilise des pesticides ou des biocides tels que formaldéhyde et paraformaldéhyde, produits très toxiques déshydratant et raffermissant des chairs, fongicides, bactéricides, virucides… Le logo  » tête de mort  » qui rappelle la dangerosité figure d’ailleurs sur presque tous les bidons de produits destinés à être injectés à la place des  » fluides corporels ». Ce sont des poisons qui empêchent la décomposition des corps, tout en restant toxiques dans le temps. D’autant plus que tous ces fluides corporels sont « balancés », eux aussi, dans les égouts…
  • Autant que possible faire don des organes en bon état, enlever les prothèses métalliques, plombages,…
  • Pas de bijoux, vêtements, chaussures difficilement biodégradables. Habiller le défunt avec des vêtements en matières naturelles (coton, lin), en proscrivant les dérivés de pétrole.
  • Pas de cercueil en bois exotique vernis. Préférer le cercueil en bois du pays non traité, ou, mieux, le cercueil en carton recyclé ou, encore mieux, le simple linceul
  • Sans caveau, ni sarcophage, ni pierres tombales (souvent importées de Chine ou d’Inde)

Voici, ci-dessous, une tentative de comparaison des différents impacts des 2 seules pratiques funéraires actuellement autorisées dans la plupart des pays.

Mais c’est assez difficile à chiffrer tant les différentes options choisies par les familles sont nombreuses et leurs impacts fort variables ! Surtout depuis l’apparition de plusieurs tentatives visant à laisser croire aux familles que l’enterrement et l’incinération serait plus acceptable avec du « greenwashing » de surface…

L’inhumation équivaut entre 3,6 crémations et 5 crémations. En moyenne, un enterrement émet 833 kilos de CO2 ce qui équivaut à 11% des émissions de CO2 d’un Français moyen sur un an, ou 84% d’un aller-retour Bruxelles – New York, ou encore 4023 kilomètres en voiture. *

Une crémation moyenne équivaut à 233 kilos de CO2, soit 3% des émissions d’un Français sur un an, 23% d’un aller-retour Paris-New York, 1124 kilomètres en voiture. L’étude là aussi part de la mise en bière pour aller jusqu’à la destination de l’urne (colombarium, cavurne, caveau, dispersion) en passant par la crémation en elle-même et la fabrication de l’urne cinéraire.*

* Synthèse de l’étude « Analyse environnementale comparative du rite de la crémation et de l’inhumation en Ile-de-France. »

La conclusion pour de plus en plus de personnes, qui ont pris le temps de comprendre les avantages et les inconvénients du « système en vigueur », c’est qu’il est quasi impossible de se décider pour l’une ou l’autre pratique : elles sont actuellement obligées de choisir entre la « peste ou le choléra » !

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